Star saga – test

Avec les premières figurines peintes, j’ai pu tester le scénario d’initiation du dungeon crawler spatial de Mantic : Star Saga.

Dans cette mission, la mercenaire Erika Dulinsky doit déverrouiller et ouvrir une porte pour rejoindre ses équipiers alors qu’ils infiltrent les labos d’une méchante corporation.

La zone d’action est créée avec des dalles en carton, imprimées et quadrillées. On utilise des dés de combat spéciaux avec 4 types de face différentes : vide (raté) et 3 niveaux de réussite. Les figurines plastiques 28mm sont déjà montées. On a ensuite de nombreuses cartes claires et relativement bien illustrées et des marqueurs divers. Le petit plus est constitué par les meubles, portes, terminaux et autres accessoires de décors en plastique. Comme pour Mars attacks, on a vraiment tout le matériel nécessaire dans la boîte de jeu.

Voici le placement de départ :

2 types de sbires sont présents et peuvent arriver en renfort : des techniciens et des gardes. Plus tard, il y aura d’autres types d’ennemis et des boss.

Chaque combattant a 5 caractéristiques : le mouvement en cases puis un nombre de dés pour le tir, le corps à corps, la défense, et le talent technique (pour pirater les systèmes informatiques). On résout une action en faisant 2 jets de dés opposés (avec parfois des modificateurs comme le couvert, être blessé, etc. qui ajoute ou retranche des dés). Chaque réussite en attaque ne peut être annulée que par une réussite de même niveau en défense.

Chaque tour de jeu commence par la phase des mercenaires qui peuvent faire 1 mouvement puis 1 action (tir, corps à corps, piratage de terminal, fouille ou interaction avec un élément de décor, ouvrir ou fermer une porte, action spéciale du personnage).

Vient ensuite la phase du nexus, le joueur qui prend en charge les méchants. Il peut jouer des cartes événements, activer un certain nombre de figurines puis faire arriver des renforts. Les cartes du nexus peuvent être utilisées pour simuler un nexus artificiel. C’est ce que j’ai fait pour cette première partie et ça marche bien. Les cartes amènent des événements aléatoires, une cible prioritaire, un nombre de renfort. Une table de priorité d’action permet de faire agir les sbires activés assez bien, avec un peu d’incertitude.

Erika progresse prudemment en se mettant à couvert car même si elle a toujours plus de dés, un bon jet peut la blesser.

Et justement, alors que j’approche de la porte, j’ai déjà 3 pions blessures. Après avoir battu le système sur le terminal (le pare-feu a une valeur de défense selon le scénario), j’arrive à déverrouiller la porte et je gagne la partie.

Ça tourne bien, j’attends de découvrir les autres personnages et les missions normales. Des règles avancées permettent de gérer le mode campagne (avec de l’expérience, l’achat d’équipement ou de talents), l’obscurité ou la destruction des décors.

Il me reste à peindre les accessoires et le reste des figurines au fur et à mesure des scénarios.

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