Un vendredi au club des Nerviens, j’ai pu jouer avec mes premières figurines de panzergrenadiers peintes dans le scénario Blitzkrieg cité dans le titre. En face, le vil russe était joué par Lionel (qui amenait toutes les autres figurines) et nous avons accueilli 2 nouveaux joueurs à initier.
Nous avons un peu augmenté les forces prévues dans le livre de base pour cet affrontement : 2 compagnies de grenadiers et une section de pionniers élite avec un lance-flammes constituent les forces allemandes sur cartes, qui tiennent la moitié des bâtiments. Ils s’apprêtent à lancer l’assaut, aidés d’une artillerie de 105 hors carte et de 2 stug. En face, une compagnie complète fanatique et une réduite d’infanterie russe défendent leur patrie.
Le russe recevra 2 paires de T34/76A aux tours 3 et 4, tandis que l’allemand sera renforcé de 2 panzers III L au tour 4.
Cliquez sur l’image ci-dessus pour voir en grand le placement initial : les russes ont les 4 bâtiments en haut à droite et les 2 tout en haut à gauche. Nous tenons les 6 autres.
Dans l’usine, une partie de mes grenadiers et les pionniers prêts pour l’assaut :
Nous n’arrivons pas tout de suite à avoir le soutien de l’artillerie. Les premiers tirs vers la gauche démoralisent quelques adversaires et mes troupes parviennent ensuite à prendre la maison.
Je prends le risque de lancer mon unité de lance-flammes seule sur le bâtiment adjacent et 2 unités russes sont grillés ! L’unité réussit ensuite à prendre la demeure avant de tomber à court de carburant. Les héros de la bataille :
Nous envoyons un stug sur chaque flanc pour maintenir la pression et empêcher les russes de contre-attaquer. Il suffit de tenir les 2 ou au moins 1 bâtiment pris pour gagner.
Quand les renforts arrivent, les T34 se concentrent à gauche pour tenter de reprendre les bâtiments avec une compagnie d’assaut. Notre artillerie pilonne enfin l’usine russe à droite mais nous ne l’aurons qu’un tour.
Le bâtiment au nord est repris malgré des pertes énormes pour les troupes d’assaut russes. 2 T34 et un stug brûlent alors qu’au dernier tour une unité russe dans le bâtiment central courre investir un bâtiment du sud ne contenant plus qu’une unité allemande démoralisée. L’ennemi arrache le match nul au dernier instant, arrgghhh !
La partie fut très sympa et m’a permis de découvrir le combat urbain. Les 2 nouveaux joueurs ont également apprécié je crois cette règle simple et dynamique.
Je me remets à la peinture des mes armées 15mm en attendant la prochaine partie. 🙂
