Fan de tous les précédents Fallout, j’ai acheté Fallout New Vegas (à 15€ seulement actuellement).
Une fois mon alter ego créé – plutôt spécialisé en combat au corps à corps, discours et survie – je me lance dans l’aventure. Cette fois, le personnage est un messager laissé pour mort par de mystérieux agresseurs. 
Après avoir aidé la petite communauté de Goodspring qui m’a recueilli, je pars à l’exploration du wasteland. Techniquement, il n’y a pas d’évolution par rapport à Fallout 3. En revanche, on revient à l’ouest des Etats-Unis post-apocalyptiques et on retrouve l’équipe des 1ers pour le scénario.
Cette fois, je ne joue pas un bon samaritain mais plutôt un solitaire allergique aux donneurs d’ordre comme la Nouvelle République de Californie. La région est habitée par de nombreuses factions plus ou moins opposées. La gestion de la réputation auprès de chacune est une des nouveauté, ce qui influe grandement sur les missions accessibles et l’aventure tout court.
(on retrouve le bestiaire des terres dévastées, ici un radscorpion)
(quand c’est nécessaire, le recours à des substances chimiques est bien utile – l’inventaire, notre état et des infos sont accessibles via le Pipboy porté au poignet)
(le joueur de blackjack en tenue de cosmonaute, c’est moi)
Après diverses rencontres en partant vers l’est puis le nord, j’ai finis par attendre New Vegas (après des détours face aux féroces Griffemords ou aux supermutants). Là, j’ai appris beaucoup sur mes agresseurs, notamment auprès du mystérieux M. House (ci-dessous), maître d’une armée de robots et de la ville elle-même.
Je suis bien vu dans Freeside où j’ai aidé les Kings notamment. J’ai eu quelques anicroches avec la RNC (ci-dessous) et je cherche encore à contacter César et sa légion.
Après 18h de jeu, je suis niveau 8 et il me reste encore beaucoup à explorer. C’est vraiment addictif, je ne saurai trop vous conseiller ce jeu de rôle très riche si vous aimez les univers post-apocalyptiques.
