Dreadfleet – La captive dans la citadelle (2ème)

Après une première partie test, j’ai rejoué le scénario 2 avec Anthony cette fois. Je jouais encore les gentils.

Au bout de quelques tours de canonnade et d’abordage, je parviens à délivrer la capitaine de l’Espadon qui peut prendre la mer. L’Heldenhammer a quand même pris des coups.

Le Naufrageur me barrant la route, j’ai l’idée d’utiliser une des capacités de l’Espadon qui est l’éperonnage (seul navire qui peut le faire).

Seulement, l’attaque ne donne rien et m’oblige à livrer un combat d’abordage contre le navire amiral ennemi nettement plus fort dans ce domaine. C’est ensuite difficile de s’écarter, donc l’idée s’avère très mauvaise…

Cette fois, nous utilisons un peu plus les escorteurs qui peuvent être plus efficaces grâce à des cartes destins obtenues au hasard.

L’Espadon est démoli par le Naufrageur alors que les 2 autres bateaux échangent des bordées.

La partie est donc perdue (l’Espadon devait s’échapper)…

(cliquez sur l’image pour l’agrandir)

Après 2 parties, j’ai pu constater que Dreadfleet fait encore plus appel au hasard que Man o’war (MoW) – surtout en ce qui concerne les dégâts et le vent. Le fait qu’un abordage réussi peut entraîner n’importe quel type de dégâts (équipage mais aussi coque, déplacement ou autre !) est bizarre. La magie n’est pas volontaire comme à MoW mais intervient épisodiquement avec la pioche des cartes Destin.

Le gros point positif à Dreadfleet, c’est le matériel très joli : îles, épaves, nappe, cartes. Le duel des capitaines est un ajout sympa, ainsi que les capacités spéciales de chaque navire. La présence pour chaque bâtiment d’un mini navire à déposer en mer n’apporte pas grand chose en revanche.

Il faudra essayer avec plus de navires pour voir ce que ça donne…